suite de la balade parisienne....
Bonjour à toutes et tous
je continue ce reportage de ma balade parisienne ce 10 juillet, pour toutes celles et ceux qui m'ont dit aimer avec mes clichés revoir des lieux ou en découvrir, avant de le faire individuellement je vous remercie ici de vos coms
toujours avec Chris, après le Louvre, le restaurant japonais,
il fait très chaud mais nous continuons à nous promener,
nous allons au Palais Royal
voir les colonnes de Buren
je ne sais pas comment exprimer ou qualifier ce que m'inspire ce lieu, ces colonnes,
mais j'aime beaucoup
infos Intenet bien sur
Les Deux Plateaux, communément appelé « colonnes de Buren », est une œuvre d'art de Daniel Buren réalisée avec l'aide de Patrick Bouchain dans la cour d'honneur du Palais-Royal
En lieu et place de ce qui servait de parking, l'installation fut commandée en 1985 par le ministère de la culture, alors dirigé par Jack Lang, pour les institutions attenantes, Daniel Buren a conçu une œuvre au caractère volontairement urbain (asphalte et caillebotis métalliques…)
que le public investirait librement ce qui s’est effectivement produit, donnant un contraste avec le sérieux du lieu : il s'agit d'un lieu parlementaire où le public se comporte comme des enfants en escaladant des colonnes, qui plus est des colonnes en marbre de Carrare.
Les colonnes emblématiques de son œuvre, aux rayures blanches et noires sont construites en marbre et introduites dans cet espace, de façon dynamique, leur hauteur variant, en écho à la galerie préexistante.
L'œuvre est faite en marbre de Carrare et en marbre noir des Pyrénées, qui sont considérés comme les matériaux les plus nobles de la sculpture (utilisés par exemple par Michel-Ange dans la chapelle Sixtine, ou par Rodin) et sont une référence à la statuaire antique.
La façon dont sont disposées les colonnes forme une sorte de damier : peut-être est-ce une référence au jeu.
Elles sont toutes alignées : là encore, une référence à l'architecture antique du lieu.
Les colonnes sont dans des tranchées en référence à l'histoire du lieu, qui fut auparavant, en 1899, transformé en une usine électrique semi-enterrée.
Sous cette construction, on entend l'eau qui coule : Buren donne ainsi une autre perception du lieu, une perception sensitive.
puis nous allons dans ce charmant jardin du Palais Royal
romantique, un peu "intime", calme
chargé d'histoire
très ensoleillé (pour ce jour très chaud c'est ombragé que l'on aurai préféré)
Situé à deux pas du Louvre, le Palais-Royal est construit à la demande du cardinal de Richelieu en 1633.
Légué à la Couronne dès 1636, le Palais devient une demeure royale.
À la fin du XVIIIe siècle, Louis-Philippe d'Orléans l'agrandit en faisant construire des maisons à façades uniformes donnant sur trois côtés d'un grand jardin.
Composé d'un ensemble de rangs de tilleuls taillés en marquise et de marronniers rouges, le jardin est agrémenté d'une fontaine centrale dont les jets d'eau se déploient vers deux longues pelouses bordées de massifs de fleurs, redessinés par le paysagiste Mark Rudkin.
C’est au Palais-Royal que la figure de Colette femme écrivain s’est édifiée. Colette a vécu près de vingt ans dans ce « village dans la ville » que constitue pour elle le Palais-Royal : entre 1926 et 1930 d’abord, dans son « tunnel », un sombre entresol aux fenêtres en demi-lune ; puis, de 1938 à sa mort en 1954, dans la « seigneurie retrouvée », un premier étage dont les hautes baies donnent directement sur le jardin.
Les galeries du rez-de-chaussée communiquent avec le jardin du Palais-Royal par des arcades et accueillent des boutiques et des cafés.
malgré la chaleur nous sommes courageuses nous continuons à nous promener,
ma guide est merveilleuse !!!!!!
la suite de cette journée dans un prochain billet
merci de vos visites
de vos petits mots