le Petit Palais ...
Bonjour à toutes et tous
plusieurs d'entre vous m'ont dit trouver très beau ce lieu
qui fut celui d'exposition de vase dans le billet
donc je complète avec ces photos que j'avais prises du Petit Palais
un petit tour dans le jardin intérieur
je ne connaissais pas du tout et j'ai beaucoup aimé
Construit pour l’Exposition Universelle de 1900, comme son voisin le Grand Palais, devenu musée en 1902, le Petit Palais est situé sur l’avenue Winston Churchill qui relie les Champs-Élysées à l’esplanade des Invalides.
Œuvre de Charles Girault, le Petit Palais est conçu selon un plan en forme de trapèze et s’ordonne en quatre corps de bâtiment, autour d’un jardin semi-circulaire bordé d’un péristyle richement orné.
Les quatre saisons
La seine et ses rives
Le Petit Palais abrite un décor peint et sculpté très important, réalisé entre 1903 et 1925.
L’architecte Charles Girault, qui souhaitait donner à son bâtiment l’apparat et la dignité d’un palais officiel, avait conçu un programme destiné à glorifier la Ville de Paris et à célébrer les bienfaits de l’Art.
Dans cette intention, il avait soigneusement déterminé les emplacements du bâtiment destinés à recevoir une décoration.
Pour l’essentiel, ce sont des zones de passage et de circulation : vestibules d’entrée, péristyle du jardin, coupole d’escalier
Seules les deux grandes galeries d’exposition ont reçu également un décor peint.
Plus de vingt ans ont été nécessaires pour réaliser ces décors.
Qu'elle soit dans l’intimité de son intérieur ou au théâtre, Sarah Bernhardt fait de sa vie un spectacle au service de son talent.
Pour cela elle sait inspirer l’admirative complicité des peintres, sculpteurs, photographes, affichistes qui représentent les multiples facettes de son rôle de Diva. Le peintre Clairin, qui fut son amant puis un ami fidèle, reste durant cinquante ans le portraitiste attitré de son illustre égérie.
Alice de Lancey choisit le célèbre peintre Carolus-Duran pour réaliser son portrait. Il la représente allongée sur une méridienne richement garnie de tissus et de coussins. Celle que l’on désigne au Salon de 1877 comme « la dame au coussin rouge » fut l’une des grandes courtisanes du Paris de la Belle Epoque.
L’approche réaliste de Courbet, dont le musée présente un ensemble d’œuvres majeures, trouve son prolongement dans les scènes de la vie moderne qui font écho aux romans naturalistes de Zola.
Cette scène de genre rurale peinte par Courbet offre une vision sereine de la vie paysanne déclinée sur un format monumental. Elle est le témoignage de son séjour chez son ami le Docteur Ordinaire durant l’été 1867.
merci de vos visites
de vos petits mots