La Presse du Dimanche 12/03
Bonsoir à toutes et tous
c'est l'heure de
Lundi
6h55, sur le pont à l'entrée de Grenoble, je vous avais publié en juin 2016 le chien d'un gars faisant la manche, il est toujours là, lundi pour une fois j'étais bien placée arrêtée au feu rouge et il prenait tellement bien la pose...alors vite j'ai eu envie de le re-photographier, il est adorable, bien au chaud quand il est fait froid on ne le voit presque pas (on voit de la nourriture que des gens ont donné)
juin 2016
Mardi
je ne pouvais pas ne pas partager avec vous l'ambiance chez moi quand je suis partie au travail à 6h25...LOL
Mercredi
Titouan Lamazou et les Femmes du Monde !
Avant d'être peintre, Titouan Lamazou a été un grand navigateur.
Né en 1955 à Casablanca, il décide à 17 ans de faire un tour du monde pour réaliser un carnet de voyages. A 17 ans, il intègre l'Ecole Nationale des beaux-arts, mais, déçu par l'enseignement trop 'conventionnel' à son goût, il change de direction quelques mois plus tard. Il s'embarque donc sur différents bateaux, à Marseille, aux Baléares, aux Canaries. Très vite attiré par le monde de la course, il apprend à faire glisser les voiliers sur l'eau.
Depuis 2002, l'ancien navigateur professionnel se consacre entièrement au projet « Femmes du monde ». À travers ses dessins, aquarelles et photographies, Titouan Lamazou nous invite à le suivre à la rencontre des femmes qui l'ont intéressé, ému, touché lors de ses périples autour du monde.
« J'ai parcouru les cinq continents. J'ai rencontré ces femmes grâce à des associations locales. Chacune d'elles a une histoire particulière. Celle-ci, dit-il en montrant l'une des photographies, marche dans les décombres de sa maison qui a été détruite quelques jours plus tôt. C'est leur parcours qui est le point de départ de mon inspiration ».
De ces rencontres émouvantes et poignantes, sont nés des portraits qui reflètent l'évolution de notre société.
Jeudi
je suis allée faire une course alors j'en ai profité pour vous faire une petite série de photos pour compléter celle d'hier où je citais Stendhal: Grenoble, au bout de chaque rue une montagne
Vendredi
rentrée dans ma campagne l'après midi je vais faire toujours notre balade dans les mêmes champs à coté de chez moi que vous connaissez mais j'aime beaucoup les photos du jour
j'aime beaucoup cet arbre "tout seul"
je le trouve très beau avec son amas de grosses pierres à ses pieds, et dedans il y a un ancien essieu de je ne sais quoi comme engin mais il a son charme tout rouillé et laissé là depuis bien longtemps je pense
je me suis fait un petit bouquet
Samedi
il fait très beau et comme chaque fois que c'est possible nous avons déjeuné dehors, chez nous la table de jardin est en place toute l'année, je n'hésite jamais à m'en servir, idem pour mon transat, j'ai trop envie de profiter de chaque occasion et n'ai pas de "calendrier" pour le bonheur de prendre l'air ..LOL...
une copine est venue et m'a offert un superbe bouquet de jonquilles du pré chez elle et une primevère achetée mais tellement jolie...la vendeuse lui a dit que c'était une "frisée"
Dimanche
Gaku, un sculpteur japonais qui change pommes, carottes et bananes en de magnifiques œuvres d’art comestibles.
Pour réaliser ces incroyables créations, Gaku utilise la technique du Mukimono (qui signifie littéralement « chose épluchée »). Apparue en Asie autour de l’an 900, cette technique consiste à réaliser au scalpel des motifs et des décorations sur des aliments, notamment des fruits et des légumes.
Les sculptures de Gaku sont d’autant plus impressionnantes car les réaliser est avant tout une véritable course contre la montre. Une fois pelés, les fruits et les légumes peuvent s’oxyder en à peine quelques minutes. Gaku doit donc à la fois être précis pour exécuter ses motifs mais également très rapide afin que ses créations gardent leurs couleurs d’origine.
A la fois tour de force technique et sublimes œuvres à croquer, les sculptures de Gaku donnent vraiment envie d’être mangées. Leur créateur ne s’en prive d’ailleurs pas, avouant qu’une fois sa sculpture réalisée et immortalisée sur les réseaux sociaux, elle finit dans son estomac et on comprend pourquoi ! Pour dévorer du regard les autres créations alimentaires de Gaku, n’hésitez pas à aller faire un tour sur son compte Instagram.