Bonjour à toutes et tous
je vous propose aujourd'hui
allez pour commencer 2 ciels et leurs couleurs, leurs nuages
"Tout nuage n'enfante pas une tempête" William Shakespeare
c'est la "vedette" de ce billet je tiens à lui faire une belle place, elle vient de faner mais j'ai eu une splendide amaryllis à hampes florales magnifiques et vraiment géantes, un enchantement
au tout début de sa floraison il y avait encore des jacinthes
je suis toujours en retard sur la blogo ?...je suis dehors au maximum vous le savez bien maintenant....dès qu'il fait beau le rituel du café et moment lecture avec les fifilles, les oiseaux...moment balade avec les chiennes...le ménage et tout le reste c'est "avant" ou "après"...
mais il fait aussi du brouillard certains jours et là on ne voit plus qu'à travers une ouate grise, même notre montagne en face à disparue !!! alors je sors bien moins évidemment
tiens le 02/02 il ne faisait pas beau on voit bien le ciel mais en montant au somment de nos champs à mon point de vue que j'adore ( et dont je vous ai parlé/montré déjà)
j'ai découvert que c'était pire en bas car il y avait une fois de plus une mer de nuages bien épaisse, bien blanche que j'ai trouvée jolie donc clic clac avec mon teléphone
je vous ai montré samedi qu'il avait neigé un peu sur la montagne en face le 05/02 mais rien chez nous, quelques roses sont encore là ... le 07 et le 08, en solo ou en duo on a mangé dehors pour profiter de la douceur, du si beau soleil ( vous voyez Letty qui se lèche les babines ça sentait bon ) et pour l'autre cliché un clin d’œil à Lavandine
j'ai taillé les rosiers le 09 alors j'ai fait un petit bouquet
quand ça sera les soit disant "beaux jours" avril, mai , juin etc peut être qu'on n'arrivera pas à manger dehors tellement il fera encore pourri tous les WE cette année...
tout est en place sur la terrasse tout le temps...alors vu ma devise et philosophie de vie je profite quand c'est là peu importe les dates....
coté cuisine des petits desserts tout simples, j'ai dégelé quelques prunes d'Ente pour une petite tarte, des salades de fruits d'hiver, de la compote de pommes (on ne mange jamais de pommes à la main mais on aime beaucoup cuites) et j'ai fait la galette frangipane
pizzas maison et un jour moules frites hum...
et j'ai fait cette recette que l'on a adoré, avec une de mes butternuts du jardin
Courge Butternut façon country potatoes
(pour 4/6 personnes) :
- 1 courge butternut
- 1 cuillère à soupe d’ail en poudre
- 1 cuillère à café de Niora ou de paprika (paprika doux pour moi)
- 1 grosse pincée de sel
- 1 cuillère à café rase de poivre du moulin
- 3 cuillères à soupe d’huile d’olive
quantité à évaluer selon ses goûts et la taille de la courge, j'ai mis un peu plus moi
éplucher la courge, ôter les pépins, couper en frites irrégulières ou cubes etc...
Dans un saladier, mettre ces frites, de l’ail en poudre, du paprika du sel, du poivre, et environ 3 cuillers à soupe d’huile. mélanger et déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.
dans le four préchauffé à 210°C (chaleur tournante) enfourner pour 45 minutes ou moins selon le four, surveiller
je ne vous en parle pas souvent mais dans notre "tribu" il y a aussi une dizaine de poissons.....c'est très agréable et bénéfique on dit de les observer tranquillement, j'aime bien ils sont mimis...
et ce jour là j'ai ri toute seule en regardant faire Clochette, je suis vite aller chercher l'apn discrètement pour immortaliser
il faut vous dire qu'elle n'a pas le droit de monter sur aucune table, étagère, plan de travail etc et n'y va pas en général mais là ???....elle est montée sur la chaise et l'air de rien elle est montée plus haut...puis hop retour sur le sol fini la séance poipois
pour la rubrique lecture j'aimerai un peu l'étoffer aujourd'hui, j'ai fini le deuxième livre de cette trilogie et j'ai lu une belle interview de l'auteur
juste pour ceux qui disent ne pas aimer ce genre qu'on peu lire "polar" mais qu'il y a des fois bien autre chose dans les bouquins et dans cette trilogie c'est particulièrement le cas et c'est ce que je choisis souvent via certains auteurs
il me reste un tome mais j'ai énormément appris de chose sur ce pays que je ne connais pas du tout la Mongolie et très peu connu d'ailleurs comme l'auteur le confirme
pour celles (ceux) que ça intéresse je mets quelques infos du Net et extraits
sinon laissez la rubrique et très bonne soirée à vous
Journaliste au Figaro et à Télé Magazine, bourlingueur - ses premiers voyages l'emmènent en Islande, au Bélize, au Brésil -, Patrick Manoukian a l'écriture et le voyage dans le sang. Toutefois, et sans jamais renoncer à explorer le vaste monde, pendant trente ans il va se consacrer à l'édition jeunesse, chez Télé Guide. Rédacteur en chef, en plus d'un hebdomadaire, il adapte les titres dérivés des programmes télévisés.
Jusqu'à ce jour de 2008 où, à l'instigation de sa plus jeune fille, il prend le chemin de la Mongolie pour aller y constater, en famille, si l'argent versé au lointain "filleul" arrive bien à bon port.
Tombé sous le charme de paysages somptueux, curieux des traditions et "ouvert sur le monde comme devraient l'être tous les vrais voyageurs", Patrick Manoukian rentre en France avec, en germes, l'idée d'un livre. Il lui faudra quelques années encore pour le laisser maturer, avant qu'il se mette à l'écrire.
Sous le pseudonyme de Ian Manook, Yeruldelgger sort chez Albin Michel en 2013. Un polar sombre, brutal parfois, mettant en scène un flic d'Oulan Bator convaincu que la tradition peut être une arme pour combattre le crime.
"C'est en terminant le second que je me suis aperçu que j'avais encore des choses à dire sur la Mongolie, sur la géopolitique et l'environnement de ce pays"
"Dans les trois bouquins, Yeruldelgger et la Mongolie, c'est la même chose. Quand je parle du personnage, je parle du pays et vice-versa."
Est-ce qu'à l'époque de votre voyage, vous mesuriez déjà ce que ce pays allait devenir ?
"En 2008, c'était déjà latent, mais je ne l'avais pas perçu comme ça. J'avais plus eu un coup de coeur au niveau des paysages, des coutumes, des habitants. Le fond géopolitique et la corruption ont suivi. Je m'en suis rendu compte au fur et à mesure que j'écrivais le bouquin et que je m'intéressais à ce qui se passait là-bas: le pillage des terres rares, le problème de l'eau et de la présence des multinationales qui exploitent le sous-sol ."